HULOT N’ÉTAIT PAS A SA PLACE SELON JANCOVICI
HULOT N’ÉTAIT PAS A SA PLACE SELON
Jancovici qui dénonce (comme Brice Lalonde hier sur France Info de manière fort brillante, le seul à refuser le bal des pleureuses et à dire le bonheur d’agir et d’être ministre) le virage antinucléaire de Hulot sur le tard comme une concession politicienne à un électorat de plus fantôme.
Selon lui, si le climat et la biodiversité sont une priorité, « on ne peut pas ne pas voir », sans disposer d’une solution alternative, que le nucléaire est plus une solution qu’un problème au carbone.
A moins de préparer le terrain pour la généralisation des chemtrails et de la géo-ingénierie.
Nous voici revenus 20 ans en arrière quand on a tourné le dos à la possibilité d’un nucléaire propre (les ADS) sous la pression des lobbies, préférant l’enfouissement au recyclage final des déchets, ce qui avait un coût certes. On l’aurait presque oublié ! Mais c’est sans doute trop tard.
Les grands ont opté pour l’introuvable GIV que recommandaient Corine Lepage et Westinghouse. La France a choisi l’énorme EPR. Iter c’est l’embarquement pour Cythère et les brevets des ADS sont dans les abimes.
Triste réalité d’un populisme universel, de tous les continents, de toutes les gauches comme de toutes les droites, dans un monde sans barreur…
https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/0302180068570-comme-ministre-nicolas-hulot-etait-a-contre-emploi-2201044.php