A PROPOS DE LA MAGNÉTOGAINE
A PROPOS DE LA MAGNÉTOGAINE et de la question posée
Le « niveau de CO2 » n’a évidemment aucun rapport avec le réchauffement climatique comme le montrent toutes les séries passées. Ceci est désormais clairement entendu.
Il constitue même un mécanisme de compensation. Le RC entraîne mécaniquement une hausse de CO2 et une plus grande pluviométrie. Eau + Chaleur + Carbone (CO2) ==> Photosynthèse suractivée ==> Développement de la flore (puis de la faune et de la taille des espèces) ==> Refroidissement climatique
On est donc loin de la doxa.
Ceci sans intervention de l’Homme.
Il en va différemment de la dynamique du cycle du carbone et de son dual le cycle de l’eau.
En effet, si le niveau de CO2 augmente rapidement en raison d’émissions accélérées qui ne sont pas la conséquence d’un RC antérieur, comme actuellement, alors des phénomènes transitoires et des désordres climatiques divers et complexes se produisent.
Car l’augmentation de la vitesse d’émission du CO2 éponge une grande quantité d’eau de la biosphère ce qui accélère le cycle de l’eau et provoque pluies, assèchements et acidification tant que le niveau de CO2 continue de monter artificiellement. Si le niveau se stabilise, on peut penser que ces phénomènes vont se dissiper et les grands équilibres reprendre le dessus. Une fois le niveau stabilisé, on peut plutôt penser que le niveau atteint par cette augmentation produira du refroidissement et non du réchauffement comme le prétend la doxa simplificatrice officielle.
Mais cela reste sans doute marginal sur le moyen et long terme par rapport à d’autres phénomènes tels que les cycles liés à l’interaction de la thermodynamique de la terre, de sa magnétogaine – d’où les tentatives maladroites sinon malencontreuses d’influencer le climat avec les projets américains, russes, européens et japonais de type Haarp évoqué dans le film de cette page – comme de sa magnétograine, avec l’environnement solaire et extrasolaire.
Toutefois, la diminution drastique comparable à une sixième extinction qu’ont entraînée des émissions de CO2 conjoncturelles et surtout l’abus de tous les composés chimiques organiques ou artificiels (CO2 compris donc) dans les surfaces cultivées, l’atmosphère et les eaux de toute sorte est peut-être de nature à provoquer des désordres « provisoirement irréversibles ». Provisoirement à l’échelle du temps planétaire, irréversibles à l’échelle du temps humain.
La situation ne pourra que s’aggraver avec le refroidissement climatique dont on ne peut actuellement vraiment prévoir quand il se produira. Mais il est inéluctable.
J’ai participé avec Jacqueline Roche, réalisatrice, à ce film, objet de cette page, « Vers un Climat Artificiel ? – Le Film ». Les bandes annonce de différents formats ont été visionnées plus de un million de fois. Un phénomène médiatique passé sous silence, non complotiste, réaliste : il se contente d’exposer à quel point la géo-ingénierie s’appuie sur le discours officiel de la climatologie bien pensante pour faire irruption discrètement dans la politique mondiale et se légitimer « à l’insu du plein gré de l’écologie » !
Le film d’abord sélectionné au festival européen des films Green vient d’être retiré au profit de la multi-présence du dernier film d’Al Gore.
Visiblement, nous gênons.
Pourtant nous n’affirmons rien. Le film donne les faits. Nous nous contentons de demander que les études scientifiques soient mises à la disposition équitable du public.
Mon avis ? Oui il faut faire plus de place aux études scientifiques qui aujourd’hui indiquent que les modèles thermodynamiques simplissimes sur lesquels s’appuient les dits experts onusiens sont incomplets sinon erronées et incapables de fournir des données sur lesquelles les politiques peuvent en conscience s’appuyer.
Patrice Hernu
http://www.insu.cnrs.fr/node/8352